Nos dernières activités en France :
♠ Le printemps des poètes à Eygalières.
♣ Présentation du film SONITA à Toulon.
& ω &
Le printemps des poètes à Eygalières
Le groupe « Paroles Vives » du village d’Eygalières nous a invités à organiser ensemble une soirée poétique consacrée aux poétesses afghanes, et en particulier à la poétesse Nadia ANJUMAN.
« Paroles Vives » est un groupe de poètes et d’amateurs de poésie vivant aux pieds des Alpilles.
La soirée du samedi 26 mars a été consacrée à des lectures de poèmes, en français et en persan, alternativement. Le musicien Matteo de Bellis accompagnait les poèmes au Rubab.
Mme Huguette Schneider a accompagné certains de ces poèmes par une mise en mouvement des textes. Nous la remercions, ainsi que monsieur Dario Pellegrini, animateur du groupe « paroles vives »
Une double célébration : célébration de la poésie et des femmes afghanes, avec l’aide bienveillante de la municipalité d’ Eygalières.
On fêtait le printemps des poètes en même temps que le centenaire des relations diplomatiques entre la France et l’Afghanistan.
Présentation du film SONITA à Toulon
L’association a été contactée par un petit groupe d’étudiants en master 1 de l’université de Toulon pour aider à faire connaître le film SONITA. SONITA raconte l’histoire d’une jeune râpeuse afghane qui vit en Iran, essaye de faire un film, se heurte à quantité d’obstacles liés à la situation des femmes, et à la situation des Afghans en Iran.
Tous ces problèmes ont été évoqués lors du débat qui a suivi la projection, rassemblant en pleine journée une cinquantaine de personnes.
Nous avons pu percevoir tout l’intérêt que présentait ce travail dans le cadre de l’université : confronter des étudiants étrangers à la réalisation d’un événement culturel.
Une découverte aux riches prolongements.
Assemblée générale du samedi 5 mars 2022
L' Assemblée Générale de notre association s'est tenue le 5 mars 2022 de 15 h à 18 h à la Cité des Associations, 93 la canebière - Marseille.
Une trentaine d'adhérents s'étaient déplacés et d'autres avaient donné une procuration.
L'ordre du jour était :
- La situation en Afghanistan.
- Avenir et fonctionnement de l’association.
La réunion a été suivie d’un thé afghan.
Voici le rapport de Michel T. , Secrétaire de l'association :
Rapport d’activité
Je vais simplement aborder quelques points, à titre d’exemples, pour montrer combien nous sommes démunis..
D’abord, le problème de l’exfiltration des personnes qui nous aident en Afghanistan (que j’appellerai nos correspondants).
Dès le mois de décembre 2021, l’ambassade de France à Kaboul a commencé à organiser ce qu’on a appelé « l’exfiltration » des Afghans qui avaient travaillé avec les associations occidentales. Ceci a, d’ailleurs donné lieu à un débat. Certaines associations estimaient qu’elles pouvaient continuer à travailler. Les talibans n’ayant pas les moyens de s’opposer à toutes les démarches d’aide, et pas les moyens non plus de kidnapper cette aide à leur profit.
Nous avons décidé d’essayer de faire exfiltrer les personnes qui travaillaient avec nous par précaution. Nous sommes donc rentrés en contact avec l’adresse e-mail CDCalertes , une adresse gouvernementale qui prenait des inscriptions depuis le Qatar.
Dès le 16 mars 2021 puis le 18 juillet, le 22 juillet puis le 10 août, le 16 août , le 8 septembre 2021, nous avons envoyé des messages au ministre des Affaires étrangères, puis le 15 septembre nous avons écrit au président de la République. . Nous avons traqué sur le net tous les numéros qui pouvaient avoir un rapport avec la confection de la liste. Nous avons établi les listes des personnes que nous souhaitions voir exfiltrer. Aucune réponse. Juste un accusé de réception de la présidence de la République qui assurait qu’ils examineraient le cas.
Par contre, le proviseur du lycée que nous aidions a réussi, avec sa famille , à se réfugier en Hollande..
Nous avons vécu ces mois dans l’angoisse, avec le sentiment d’être ignorés. L’identité des responsables de la liste ne nous était pas connue, les listes ont été détournées, remaniées avant d’arriver à l’aéroport, les « exfiltrés » l’ont été souvent au petit bonheur la chance, certains cars partant pour l’aéroport ont été vidés de leurs passagers. J’ai lu des témoignages (anonymes) des personnes qui ont soi-disant géré les listes, d’où il ressort que personne n’a rien maitrisé, personne n’est arrivé à faire correspondre la liste de départ d’un bus, avec la liste finale des passagers de l’avion. Il reste au moins 1200 personnes qui demandent toujours à être exfiltrées, rien que pour la France.
« Vivacités » et les contacts de la réunion du 19 octobre.
Nous avons réussi à obtenir un beau stand à vivacités, début septembre 2021. Vivacités, c’est la fête des associations de Marseille qui se tient au début du mois de septembre. Nous y avons fait une dizaine de contacts., essentiellement avec des assistantes sociales, des responsables de foyers, des responsables d’association (l’encre bleue par exemple). Nous avons pris contact avec la nouvelle équipe de la CIMADE, mais, dans l’ensemble, nous n’avons pas réussi à tirer parti de ces contacts. (Handicap dû à la maladie. Déplacements en voiture limités)
Le 19 octobre, après l’intervention de Régis Koetshet à la cité des associations, nous n’avons pas pu tirer parti des contacts avec les personnes et les associations nouvelles que nous avons rencontrées. Nous n’avons pas repris contact avec l’association de culture perse qui s’est nouvellement créé sur Marseille.
La réaction aux événements du 15 Aout.
Au lendemain de la prise de Kaboul par les talibans, le 15 août, nous avons essayé d’organiser une manifestation sous l’ombrière avec forum « Femmes méditerranée ». Ça a été un fiasco, essentiellement parce que les associations que nous avons essayé de faire se rencontrer ne se connaissaient pas : résultat une quinzaine de personnes à tout casser. Nous aurions pu faire ce qui s’est fait dans plusieurs villes de France : un rassemblement digne de ce nom. Par fatigue, par maladresse, nous avons raté encore une occasion.
Pendant 4 à 5 jours, après le 15 août, ça a été une succession de coups de fil, d’interviews, de demandes de rencontres. !)
Depuis le 15 août nous recevons des mails de personnes demandant à travailler comme bénévoles dans l’association, ou de jeunes stagiaires qui ont à se trouver des activités associatives pour faire valider leur formation. Ou encore de personnes cherchant à donner quelques cours de français. Deux ou trois propositions par semaine, que nous ne pouvons pas satisfaire.
Nous sommes sollicités par les réseaux d’hébergement. Ou à l’inverse par des personnes qui demandent à héberger des Afghans ou qui se proposent pour donner des cours. Là encore, si nous arrivons un tant soit peu à rediriger ces demandes, nous sommes dans l’incapacité de répondre à toutes les sollicitations.
Il faut dire que les demandes sont vraiment de toute nature, et que beaucoup de gens confondent l’association avec un service public.
Comment traiter ces contradictions ?
1) Il faut trier sérieusement les demandes et expliquer que nous ne pouvons pas remplacer un service public défaillant. Il faut de plus en plus diriger les Afghans qui nous demandent de l’aide vers les associations, et les administrations compétentes et favoriser aussi l’entraide. C’est difficile. Plus l’Afghanistan souffre, plus les besoins sont importants et difficiles à satisfaire. C’est difficile à faire, de répondre à des amis, à des connaissances, « nous ne pouvons plus… » La bureaucratie paperassière est tellement complexe qu’il faut acquérir une formation spéciale pour monter un dossier de demande d’asile, un dossier de rapprochement ou de regroupement familial. Tout est fait pour décourager les candidats à l’asile, et nous ne pouvons nous substituer à une administration très insuffisante.
2) A l’inverse, une réponse pourrait être de faire vraiment le maximum. Trouver des locaux, des traducteurs bénévoles plus nombreux, des étudiants en droit bénévoles, des professeurs de français bénévoles, etc . Ce n’est pas impossible à faire, mais c’est largement au-dessus de nos moyens, au dessus de nos capacités militantes. Cela demanderait une équipe permanente d’au moins quatre ou cinq personnes, dont plusieurs traducteurs, avec des horaires de travail fixes, des rendez-vous respectés… Cela exigerait évidemment des subventions. Pour l’instant, c’est un rêve.
3) La solution moyenne :
Celle que nous avons discutée entre nous, dans les réunions de l’équipe d’animation.
Continuer les parrainages. Les parrainages sont ce qu’il y a de plus utile. Les familles pauvres, nous sommes sûrs de ne pas les manquer. Nos correspondants peuvent toujours nous en signaler de nouvelles.
Dans la mesure du possible, participer aux initiatives culturelles, faisant connaître en France la culture afghane, comme le printemps des poètes à Eygalières, que nous préparons pour le samedi 26 mars, afin de faire connaître les poétesses afghanes.
Nous joindre aux initiatives qui pourraient avoir lieu dans le cadre du centenaire de l’établissement des relations diplomatiques franco- afghanes. (Centenaire de l’ouverture de l’ambassade de France à Kaboul).
Pour ce qui est de l’Afghanistan, nous allons suspendre nos aides aux établissements d’enseignement, tant qu’on ne saura pas exactement ce qui y est enseigné. Si les talibans ne tolèrent dans les lycées qu’un enseignement religieux, il est évidemment hors de question que nous les financions. Si par contre, les écoles et lycées entrent en résistance aux talibans et diffusent un enseignement scientifique et un enseignement historique véritable, dans un esprit laïque, nous reprendrons notre aide à ces établissements. L’enseignement des sciences physiques, de la biologie, sera un critère important. La vérité se discute et se démontre, elle n’est pas la conséquence d’un enseignement religieux. Tel sera notre critère dans l’aide aux établissements d’enseignement.
La menace dominante est aujourd’hui la famine. C’est pourquoi nous allons distribuer une aide alimentaire aux familles les plus pauvres. (Un sac de farine de 50 kg et deux bouteilles d’huile de 5 kg) Ce sera bien peu de choses par comparaison avec l’aide des grosses organisations humanitaires, mais quand il s’agit de sauver des enfants de la famine, cinquante sacs de cinquante kilos, cela peut contribuer à sauver plusieurs vies.
Une ambition réduite, certes, mais limitée par des contraintes indépassables. Nous ne pouvons pas faire plus, à moins d’un recrutement important de personnes efficaces.
Il nous faut remercier Alain, Marie-Pierre et Régine, qui nous ont donné un bon coup de main pour affronter ces difficultés..
Une autre assemblée générale aura lieu en septembre ou octobre pour valider cette orientation, faire le point sur l’aide et élire le CA.
Michel T.


Circulaire d’informations n° 3
La situation en Afghanistan
- Décembre 2021 -
@ @ @
La situation demeure confuse parce que la politique des talibans n’est pas entièrement fixée, et témoigne d’orientations différentes.
Certains talibans recherchent d’abord la reconnaissance internationale, ceux-là sont prêts à quelques concessions de façade sur certains aspects des droits humains, pour réclamer les fonds de la Banque Centrale afghane bloqués dans les banques américaines.
D’autres talibans répètent qu’ils ne s’occupent que de l’application de la sharia, et qu’il ne leur revient pas de faire tourner l’économie du pays, ou de s’occuper de problèmes d’éducation ou de santé…
Le salaire des fonctionnaires n’a pas été payé depuis plusieurs mois maintenant, et la famine menace. Le froid rend la situation plus difficile encore.
Le pouvoir de nuisance des talibans est intact. La répression est réelle, dangereuse, mais aléatoire. Les talibans n’ont pas (pas encore ?) un système policier comparable à celui des dictatures fascistes ou staliniennes. Cependant, le système de répression semble se perfectionner techniquement. (Arrestations sur listes, dénonciations, espionnage par infiltration des groupes de femmes résistantes et des opposants au régime)
La politique des talibans n’est pas entièrement fixée, quant au sort qu’ils réservent aux Afghans qui ont travaillé avec le gouvernement précédent : s’ils font la chasse à tous les afghans qui ont travaillé à un moment où à un autre avec les occidentaux, ils ne pourront pas trouver les cadres nécessaires à la gestion du pays. La théorie, c’est : « nous avons prononcé une amnistie générale » La pratique, c’est l’assassinat ciblé de certains opposants. Les gens se calfeutrent chez eux, ne répondent au téléphone que quand ils connaissent les numéros appelants. Ils sont simplement occupés à chercher à s’alimenter.
Il est extrêmement difficile de se procurer de l’argent liquide. Il faut faire la queue depuis 2 heures du matin devant les banques, western Union ou moneygram, ces succursales ferment vers 10 h.
Les journalistes ont été particulièrement visés par les talibans, et ils sont nombreux à avoir quitté le pays. Cela a pour conséquence que les informations ne sont pas vérifiées et qu’on a souvent affaire à des «fakes news » et à des manœuvres d’intoxication.
Les associations : les grosses associations humanitaires internationales croient possible de travailler en Afghanistan et lèvent des fonds spécifiques. De fait, la moitié de la population afghane vit de l’aide alimentaire internationale, et on irait tout droit à la catastrophe si cette aide cessait. Ce n’est pas l’intérêt des talibans. Ce n’est l’intérêt de personne.
Notre position : nos interlocuteurs sur place considèrent que la distribution des parrainages devrait être possible en Mars. Évidemment, les conditions de cette aide devraient être revues. On ne peut pas priver de notre aide les filles qui sont dans l’impossibilité d’aller à l’école ! On ne pourra pas exiger des photographies des enfants dont les parents recevront cette petite bourse !
Il est encore trop tôt pour se prononcer définitivement sur la manière de faire.
Nous vous préviendrons à l’échéance du mois de mars…
Nous ferons tout pour que les sommes que vous nous avez confiées parviennent à leurs destinataires.
Si c’est impossible, nous mettrons fin au système. Nous aurons alors le choix :
Soit reverser les fonds à une autre association qui vise les mêmes buts, avec des moyens techniques de distribution plus sûrs.
Soit rendre leur argent aux personnes qui le souhaiteraient.
Nous mettrions fin au système aussi si la distribution mettait en danger les amis qui nous servent d’intermédiaires à Kaboul…
Début 2022, on y verra plus clair, et on pourra tenir une Assemblée générale apte à décider.
Pour le Bureau : Nafissa, Michel et Alain.
Assemblée Générale 2021 et Réunion conférence
Samedi 9 octobre 2021 de 15 heures à 18 heures
(Salle Phocéa, cité des associations Marseille).
Cette conférence suivie d'une AG ouverte a attiré 35 personnes, adhérent(e)s ou sympathisant(e)s ou simplement intéressé(e)s par les problèmes actuels de l'Afghanistan.
Nafissa Sikandari Tourneux, notre présidente et créatrice de l’association fit une introduction et présenta le conférencier que nous connaissions déjà : Régis Koetschet, ancien ambassadeur de France en Afghanistan (2005-2008) . Elle nous parla des Afghans de Kaboul et d’autres régions avec qui elle est actuellement en contact téléphonique constant. Ils vivent des moments très difficiles, surtout pour ceux qui ont travaillé avec nous et dont la sécurité est menacée encore plus que celle d'autres.
Michel T. secrétaire présenta le déroulé de l'après-midi.
À sa demande, Régis Koetschet nous expliqua en cinq points la situation actuelle de l'Afghanistan. L’origine de cette situation et le devenir de ce pays qui est un grand point d'interrogation pour tous !
Les cinq thèmes proposés par Michel étaient :
- Pourquoi l’effondrement de l’armée et des institutions afghanes ?
- Le rôle des femmes dans les premières manifestations.
- Quel peut être aujourd’hui le rôle des organisations humanitaires ?
- Quel peut être le rôle de la diaspora afghane ?
- Peut-on penser que les talibans arriveront à gérer le pays ?
Régis Koetschet répondit ensuite aux questions de l'assistance.
L'introduction de Nafissa, la conférence et le débat qui suivit ont été enregistrés et vous pouvez les écouter en cliquant sur les liens suivants :
♦ Introduction de Nafissa :
♦ Conférence de Régis Koetschet :
♦ Questions posées au conférencier :
Comme l'a constaté Michel, après la conférence et les questions, il restait très peu de temps pour l'Assemblée Générale.
On projeta quand même un petit film commenté par Nafissa sur l'action de l'association dans un lycée à Kaboul début 2021, avant l'arrivée des talibans. Cette action s’est composée de travaux d’aménagement d’un terrain de sport et d’allées à l’entrée de l’établissement, de la fabrication de bancs pour les classes et d’achat de matériel informatique et de bureau. Ces travaux ont été gérés et contrôlés par Nafissa à distance en s'appuyant sur le proviseur du lycée et des personnes de confiance. Le proviseur est actuellement réfugié avec sa famille en Hollande. La personne de confiance qui nous aidait pour les travaux et pour la gestion des parrainages se cache actuellement. Il n'arrive pas à quitter le pays malgré les promesses des pays occidentaux concernant les personnes ayant aidé les O.N.G.
On parla ensuite de l'avenir de l'association : Parrainages ? ! Possibilités de poursuivre l'aide au lycée ? ! Dans quelles conditions ? ! Problèmes des aidants sur place ? !…
Les décisions concernant l'avenir de « Solidarité Provence Afghanistan » ont été reportées à la prochaine assemblée générale, à la fin du premier trimestre 2022 dans l’attente d’une évolution de la situation sur place.
Alain B. trésorier présenta rapidement le bilan financier de l'année.
Une somme importante a été récoltée à l'occasion de ce rassemblement et de nouvelles adhésions ont été enregistrées.
Nous sommes actuellement 64 adhérents.
L’actualité le 4 septembre 2021:
· Dernières informations concernant l’Afghanistan.
· Participation au Festival des Associations Vivacité.
· Notre Assemblée Générale.
↔
À la veille de la présentation du gouvernement des talibans, on est loin de savoir de quoi sera fait demain en Afghanistan.
Certaines associations ont choisi de rester : première urgence internationale, action contre la faim, afrane, etc...
Afrane a obtenu des talibans que ses collaboratrices puissent sortir seules dans la rue, sans chaperon masculin…
On verra ce qu’il en sera.
Rappelons que les associations qui restent, estiment qu’il faut distinguer le jugement politique de l’action humanitaire.
L’action humanitaire part des besoins de la population et essaye d’y répondre, quel que soit le gouvernement.
Il est vraisemblable que les talibans acceptent assez largement les propositions d’aide extérieure, surtout dans le domaine de la santé et pour l’aide alimentaire.
Les associations étrangères nourrissent et soignent une partie importante de la population, suppléant l’aide de l’État.
Présence de notre Association à VIVACITE
Dimanche 12 septembre
Nous avons choisi d’être présents pour le FESTIVAL DES ASSOCIATIONS VIVACITÉ, au parc Borely à Marseille, le dimanche 12 septembre, de 10h à 18h.
Nous y tiendrons un stand. Nul doute que les discussions seront animées autour de celui-ci.
Nous espérons être nombreux.
Nous avons pris contact avec les organisateurs qui ne souhaitent pas de défilé dans le parc. Ils veulent garder à cette journée son caractère de rencontre des associations.Soit !
[ Le pass sanitaire sera nécessaire pour rentrer dans le parc Borely. Masque obligatoire ]
Nous tiendrons une Assemblée Générale le 9 octobre à :
La cité des associations
Salle Phocéa, de 15 h à 18 h.
Nous y présenterons nos activités de l’année 2021, et nous mènerons la discussion sur l’activité de l’association, dans le nouveau cadre politique imposé à l’ Afghanistan…
L’équipe d’animation de l’Association .
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